Ebook gratuit Blue note : Le meilleur du jazz depuis 1939, by Richard Havers
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Blue note : Le meilleur du jazz depuis 1939, by Richard Havers
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Détails sur le produit
Relié: 400 pages
Editeur : TEXTUEL (29 octobre 2014)
Collection : Musique et danse Beaux livres
Langue : Français
ISBN-10: 2845974973
ISBN-13: 978-2845974975
Dimensions du produit:
28,5 x 4,4 x 22,5 cm
Moyenne des commentaires client :
4.0 étoiles sur 5
1 commentaire client
Classement des meilleures ventes d'Amazon:
243.661 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)
Un célèbre label de jazz vient de souffler ses 75 bougies en grande pompe avec plusieurs sorties éditoriales dont deux beaux livres en français: «Blue Note, photos de Francis Wolff» et «Blue note, le meilleur du jazz depuis 1939».Ce dernier ouvrage très attendu sur l’un des labels majeurs du jazz des années 50 et 60 a été écrit par Richard Havers, spécialisé dans la musique de la seconde partie du XXe siècle (des biographies sur Frank Sinatra ou Bill Wyman, le bassiste des Stones, et une somme conséquente sur l’étiquette Verve).Voici un ouvrage qui s’annonce prometteur à tous points de vue.JAZZ ET PHOTOGRAPHIE, UNE GRANDE HISTOIRE D’AMOUR★★★★★ 5 étoiles pour la partie illustréeCe qui marque dans un premier temps, c’est la qualité exceptionnelle de l’iconographie.En effet, dès les premières pages, on est submergé par des photos des célèbres pochettes réalisées par le talentueux graphiste Reid Miles. Une double-page présente les albums sombres aux couleurs bleues et vertes, une deuxième ceux plus clairs où la typographie prend une place plus importante, et une troisième, plus touffue, comme une sorte de mosaïque arc-en-ciel incandescente. Si, haut comme trois pommes, vous êtes tombé comme moi dans la marmite de la note bleue, vous serez tout de suite ensorcelé par ces images indélébiles de la planète jazz.La richesse visuelle de ce livre de 400 pages est telle qu’il est difficile d’en recenser en quelques lignes la diversité et la profusion: affiches et photos de concerts organisés par le label, publicités et catalogues d’époque, croquis, dessins, cartes postales, photos et carnets de notes lors des séances d’enregistrement en studio, fac-similés de pochettes vinyle, etc. Des photographies pleine page, représentent aussi les rues de Berlin ou de New York avec clubs et cabarets, les artistes emblématiques du label (de Thelonious Monk et Bud Powell à Bobby McFerrin et Robert Glasper, en passant par Jimmy Smith, Eric Dolphy ou Wayne Shorter).Bien sûr, de nombreuses épreuves reproduites ici sont archi-connues, surtout à travers les fameuses pochettes de disques. Ce qu’il y a de plus remarquable dans cette somme, ce sont avant tout les planches-contacts de photographies en noir et blanc que Francis Wolff a prises lors des sessions en studio ou ultérieurement dans des décors naturels symbolisant l’univers du musicien-leader. À l’époque, ces tirages servaient à choisir l’image définitive qui viendrait immortaliser l’album en cours de production. Les 25 planches-contacts publiées dévoilent un travail artistique conséquent et d’une belle cohérence d’ensemble. Elles sont souvent annotées par Reid Miles qui proposait au crayon couleur des solutions de retouche et de recadrage.Pour le studio, on a par exemple les clichés des séances de Miles Davis pour ses volumes 1 et 2, ou de Wayne Shorter pour «Juju». Pour les scènes extérieures, Jimmy Smith attendant dans une gare («Midnight Special»), Herbie Hancock en contre-plongée dans une rue de Big Apple («Inventions & Dimensions») ou Hank Mobley enfermé dans une composition des plus abstraite («No Room For Squares»).Les cinq étoiles sont donc parfaitement méritées pour la partie illustrée, ce d’autant plus que la mise en page, élégante, est dans l’esprit graphique de Blue Note et que l’iconographie est superbement restituée sur un beau papier mat.UNE HISTOIRE BLEUELe livre est structuré en sept parties qui retracent la vie chaotique du label.Le chapitre 1, «Le creuset du jazz», évoque les origines allemandes et le cheminement culturel d’Alfred Lion et de Francis Wolff entre le milieu des années 20 et l’arrivée des Nazis au pouvoir.Le deuxième chapitre, «New York, le bon endroit pour la bonne personne», dresse un tableau de la capitale mondiale du jazz puis aborde les premiers contacts de Lion avec la scène musicale et les maisons de disques.Le chapitre 3, «L’évangéliste du jazz», porte sur la création du label Blue Note, sur les premiers enregistrements de Pete Johnson, Meade Lux Lewis et Albert Ammons, pianistes de blues et de boogie-woogie des années 30-40, puis sur ceux, fabuleux, de Sidney Bechet ancrés dans l’esprit du jazz de La Nouvelle-Orléans.Le quatrième chapitre, «Un monde d’hommes», est dédié aux années 50 et se concentre sur la nécessaire évolution de la maison de production face à la révolution bop en cours. Les deux producteurs associés vont prendre le train de la nouveauté en marche et ne plus le quitter pendant près de vingt ans. L’avant-garde du jazz est là avec Monk, Powell, Miles Davis, Fats Navarro. Et pour la première fois, le label sera même aux avant-postes avec la crème du Hard bop en gravant nombre de chefs-d’œuvre avec Art Blakey, Horace Silver, Clifford Brown, Max Roach, Milt Jackson, Lou Donaldson, Kenny Dorham, Sonny Clark ou encore John Coltrane. Et la liste, loin d’être close, donne le vertige.Le chapitre 5, «Un Lion en hiver», est la partie la plus longue du livre (142 pages). Il est axé sur les prolifiques années 59-67 et peut se diviser en trois parties. La première revient sur le grand Rudy Van Gelder, le troisième mousquetaire d’Alfred-d’Artagnan Lion, qui va une seconde fois révolutionner la prise de son avec un studio d’enregistrement flambant neuf à Englewood Cliffs et qui deviendra une sorte de temple du jazz. Que l’on aime ou pas son travail acoustique, RVG reste le détonateur qui a incité les musiciens de Blue Note à la prise de risques artistiques.La deuxième insiste sur les piliers du label, sur leurs succès commerciaux puis sur l’apparition ou la confirmation d’un nombre incroyable de jeunes leaders (Lee Morgan, Jackie McLean, Freddie Redd, Freddie Hubbard, Grant Green, Wayne Shorter, Bobby Hutcherson, Joe Henderson, McCoy Tyner, etc.).La dernière partie aborde la brûlante avant-garde aux accents free qu’Alfred Lion a voulu soutenir contre vents et marées (Tony Williams, Andrew Hill, Eric Dolphy, Grachan Moncur III, Larry Young, Ornette Coleman, Cecil Taylor, Sam Rivers, Don Cherry).Le sixième chapitre, «Le maillon vital», met en avant les années 70 avec la domination du soul jazz et la lente descente aux enfers de Blue Note qui aura bien du mal à renaître de ses cendres après qu’Alfred Lion ait vendu son label à une maison de production peu soucieuse du bien-être de ses artistes.Le chapitre 7, «Et vinrent les hommes (et les femmes) providentiels», évoque le retour de Blue Note (la concomitance d’une nouvelle équipe de direction autour de Michael Cuscuna et de l’avènement de la technologie numérique avec le disque compact). Il expose aussi les musiciens importants de 1982 à aujourd’hui, sans oublier l’exhumation de sessions inédites grâce, notamment, au marché japonais qui regorge d’une multitude de passionnés de jazz.QUALITÉS ET DÉFAUTS DU CONTENU RÉDACTIONNEL★★★ 3 étoiles pour la partie écriteOutre l’iconographie, le principal attrait du livre réside dans son aspect résolument chronologique des faits et dans la nouvelle perception que l’on a des dirigeants du label, notamment du fondateur. Alfred Lion apparaît d’abord comme un grand défenseur de la musique (il aimait par-dessus tout les pianistes Thelonious Monk, Herbie Nichols et Andrew Hill et voulait les enregistrer quoiqu’il en coûte). Et, envoûté par sa passion tel un sacerdoce, il était l’un des rares producteurs à financer deux journées de répétition avant la session ultime pour la gravure des galettes, souvent mises en boîte en une seule journée. Puis il est présenté comme un homme d’affaires avisé.L’ouvrage met aussi en valeur l’apport indéniable des trois autres hommes incontournables du label, leurs qualités d’innovation et leurs capacités de renouvellement. Ainsi on perçoit assez bien la transformation de Blue note en parallèle de l’évolution permanente du jazz entre 1945 et 1968.Par contre, sont passés sous silence les errements de la marque bleue, les conflits avec les artistes et même ceux au sein de la direction. Pour avoir une vue moins hagiographique, on peut se reporter au livre de Richard Cook, «Blue Note Records, the biography», hélas non traduit en français. Mais, à la décharge de Richard Havers, l’accès aux vastes archives aurait sans doute été plus limité si la critique eut été plus virulente.Il est par ailleurs dommageable que, pour un document aussi imposant, ne figure une discographie, sinon exhaustive (il existerait plus de 900 disques), du moins digne de ce nom, recensant les œuvres que l’auteur estime essentielles.Une autre carence, majeure, est le manque d’approfondissement concernant les 75 albums mis en exergue dans ce pavé. En effet, l’analyse des opus reste extrêmement superficielle et l’on en apprend parfois moins que dans certaines fiches Wikipedia.Ashley Kahn travaille actuellement sur Blue Note et prévoit de sortir son étude intitulée «Somethin’ Else» en 2015. On peut espérer que cet historien, journaliste et musicologue développe ces aspects analytiques et esthétiques comme il l’a remarquablement fait pour le making of de «Kind of Blue». Et bien sûr que son texte soit traduit dans la langue de Molière.
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